ORLANDO, Floride (USA) - Mardi 8 Décembre 2015 [ME NewsWire]
– Les résultats définitifs de l’étude pivot de phase 2 portant sur des patients lourdement prétraités atteints de lymphome hodgkinien récidivant/ réfractaire ont été présentés lors du congrès annuel de l’ASH –
– Les données mises à jour sur l’efficacité et l’innocuité à partir de l’essai de consolidation de phase 3 AETHERA mené avec le brentuximab védotine après une autogreffe de cellules souches (ASCT) chez des patients souffrant de lymphome hodgkinien présentant un risque élevé de rechute montrent également une amélioration continue de la survie sans progression après trois ans de suivi –
(BUSINESS WIRE)--Takeda Pharmaceutical Company Limited (TSE:4502) a publié les données de suivi post-traitement de l’essai pivot de phase 2 portant sur l’agent unique brentuximab védotine pour le traitement du lymphome hodgkinien récidivant ou réfractaire après une autogreffe de cellules souches (ASCT). Les données montrent que le taux global estimé de survie (TGS) à cinq ans parmi les patients traités par ADCETRIS est de 41% (95% CI : 31%, 51%), que le TGS médian est de 40,5 mois (95% CI : 28,7, 61,9 [plage de 1,8 à 72,9+]) et que la survie médiane sans progression (SSP) est de 9,3 mois (95% CI : 7,1 à 12,2 mois). Le profil d’innocuité d’ADCETRIS est globalement conforme aux informations de prescription existantes. Ces résultats ont été présentés aujourd'hui lors du 57ème congrès annuel de la Société américaine d’hématologie (ASH), qui se déroule à Orlando, en Floride.
« Les taux globaux de survie à cinq ans mis en évidence dans le cadre de cet essai pivot sont très prometteurs pour améliorer les perspectives à long terme des patients dans ce contexte, car historiquement, les résultats étaient très médiocres », a déclaré le Professeur Andreas Engert de l’Hôpital universitaire de Cologne, en Allemagne. « Ces données renforcent l’émergence d’ADCETRIS comme une norme de soin pour les patients souffrant de lymphome hodgkinien qui connaissent une récidive ou une progression de la maladie après une thérapie de rattrapage et une ASCT. »
Les données de l’essai de consolidation de phase 3 AETHERA mené avec le brentuximab védotine après une autogreffe de cellules souches (ASCT) chez des patients souffrant de lymphome hodgkinien présentant un risque élevé de rechute ont également été présentées aujourd'hui au congrès annuel de l’ASH ; elles montrent qu’après trois ans de suivi, les patients traités par brentuximab védotine ont continué de présenter une amélioration significative de leur SSP selon l’évaluation des chercheurs (61% ; 95% CI:53%, 68% HR 0,52) comparé au placebo (43% ; 95% CI:36%, 51% HR 0,52). Le profil d’innocuité d’ADCETRIS était globalement conforme aux informations de prescription existantes.
ADCETRIS (brentuximab védotine) est un anticorps conjugué (ADC) dirigé sur le CD30, un marqueur précis du lymphome hodgkinien classique. ADCETRIS est actuellement approuvé dans plus de 55 pays pour le traitement du lymphome hodgkinien récidivant ou réfractaire et le lymphome anaplasique à grandes cellules systémique (sALCL). L’utilité d’ADCETRIS est actuellement à l’étude pour un certain nombre de types de cancer et les données de six études réalisées dans le cadre du programme d’essais cliniques sur ADCETRIS ont été présentées lors du congrès de l’ASH, dont quatre sous forme d’exposés oraux.
« Avec plus de 45 essais cliniques en cours pour différents traitements ainsi que des travaux de recherche visant à comprendre la pathogenèse sous-jacente du lymphome hodgkinien, les efforts que nous déployons pour faire progresser le traitement des personnes luttant contre cette maladie sont d’une grande portée », a déclaré le Dr Dirk Huebner, Directeur médical exécutif de l’Unité thérapeutique d’oncologie chez Takeda Pharmaceutical Company. « Les résultats positifs à long terme de ces deux études pivot sont très importants dans nos travaux visant à améliorer le traitement des personnes atteintes par le lymphome hodgkinien dont la maladie a progressé. »
A propos des études
Etude 1: Données de survie à cinq ans attestant de réponses durables à partir d’une étude pivot de phase 2 du brentuximab védotine chez les patients souffrant de lymphome hodgkinien récidivant ou réfractaire [Résumé 2736, présenté le 6 décembre 2015]
Les données de suivi à cinq ans de l’étude pivot de phase 2 évaluant l’innocuité et l’efficacité du brentuximab védotine chez des patients lourdement prétraités souffrant de lymphome hodgkinien récidivant/ réfractaire post-ASCT ont été présentés sous forme d’affiche par le Dr Robert Chen du City of Hope National Medical Center, Californie. Dans cette étude, les 102 patients recrutés ont reçu 1,8 mg/kg de brentuximab védotine toutes les trois semaines par perfusion intraveineuse (IV) de 30 minutes, jusqu'à 16 cycles. Le critère d’évaluation principal était le taux de réponse objective (TRO) établi par un examen indépendant conformément aux Critères de réponse révisés pour le lymphome malin (Cheson 2007). Les principaux Les critères d’évaluation secondaires comprenaient le taux de réponse complète (RC), la durée de réponse, la SSP, le TGS, l’innocuité et la tolérabilité. La survie et l’évolution de la maladie ont été évaluées tous les trois mois pendant deux ans, puis tous les six mois jusqu'à la cinquième année. Un amendement au protocole de l’étude a supprimé l’exigence de tomodensitométrie de routine durant le suivi ; ainsi, l’évolution de la maladie a été évaluée par le chercheur. Au moment de l’amendement, 18 patients étaient toujours évalués quant à la progression de la maladie ; ces patients faisaient l’objet d’un suivi à long terme depuis plus de 30 mois en moyenne.
Les patients ont reçu en moyenne 9 cycles (intervalle : 1-16) de brentuximab védotine. L’étude a atteint son objectif principal, démontrant un TRO de 72% et un taux de RC de 33%. Les effets indésirables les plus fréquents imputables au traitement étaient : neuropathie périphérique sensorielle, nausée, fatigue, neutropénie et diarrhée. Des effets indésirables de grade 3 ou supérieur sont apparus chez ≥5% de patients, et incluant notamment : neutropénie, neuropathie périphérique sensorielle, thrombocytopénie et anémie.
Sur les 112 patients recrutés, 15 restaient suivis et en rémission à la fin de l’étude. Sur ces 15 patients, six ont reçu une greffe de cellules souches allogènes (GCS) et neuf n’ont pas reçu d’autre traitement depuis la fin de leur traitement par brentuximab védotine.
Etude 2: Données mises à jour sur l’efficacité et l’innocuité à partir de l’essai de consolidation AETHERA mené avec le brentuximab védotine après une autogreffe de cellules souches (ASCT) chez des patients souffrant de lymphome hodgkinien présentant un risque élevé de rechute [Résumé 3172, présenté le 6 décembre 2015]
Les données mises à jour sur l’efficacité et l’innocuité à partir de l’essai de consolidation de phase 3 AETHERA ont été présentés sous forme d’affiche par le Dr John Sweetenham, Huntsman Cancer Institute, Université de l’Utah. L’essai AETHERA était conçu pour évaluer le potentiel de l'agent unique brentuximab védotine pour prolonger la SSP post-ASCT chez les patients souffrant de lymphome hodgkinien présentant au moins un facteur de risque pour la progression. En plus du critère d’évaluation principal, la SSP, les critères d’évaluation secondaires incluaient le TSG), l’innocuité et la tolérabilité. Les patients éligibles devaient avoir des antécédents de lymphome hodgkinien réfractaire, avoir rechuté dans l’année suivant la réception d’une chimiothérapie de première ligne et/ou avoir contracté la maladie en dehors des ganglions lymphatiques au moment de la rechute pré-ASCT. Ces facteurs sont régulièrement signalés comme étant associés à un pronostic défavorable après la greffe. Les patients ont reçu du brentuximab védotine ou un placebo toutes les trois semaines pendant une durée allant jusqu’à environ un an. Cet essai multicentrique international a été réalisé dans 78 centres aux États-Unis, en Europe de l’Est et de l’Ouest, et en Russie.
Au total, 329 patients atteints de lymphome hodgkinien présentant un risque de rechute ont été recrutés, dont 165 dans le groupe brentuximab védotine et 164 dans le groupe placebo. Les patients ont reçu en moyenne 15 cycles de traitement dans les deux groupes.
Comme présenté au congrès annuel de l’ASH en 2014, l’essai AETHERA a atteint son critère d'évaluation principal et démontré une augmentation significative de la SSP chez les patients ayant reçu du brentuximab védotine par rapport aux patients ayant reçu un placebo (respectivement 43 mois contre 24 mois en moyenne ; HR=0,57; p=0,001). Environ 3 ans après que le dernier patient a été randomisé, le traitement de consolidation par ADCETRIS a continué de montrer une amélioration de la SSP. À trois ans, la SSP était de 61% (95% CI:53–68) chez les patients du groupe brentuximab védotine, contre 43% (95% CI 36-51) dans le groupe placebo.
À trois ans, la neuropathie périphérique concomitante au traitement s’est résorbée chez la plupart des patients et aucune affection maligne secondaire supplémentaire n’a été observée dans les deux groupes de traitement.
Sur les 112 patients du groupe traités par brentuximab védotine chez qui est apparue une neuropathie périphérique concomitante au traitement, 99 patients (88%) ont connu une amélioration (23%) ou une disparition complète (65%) des symptômes de la neuropathie au moment de l’analyse.
Les affections malignes secondaires étaient comparables entre les deux groupes de traitement (n=4 brentuximab védotine, n=2 placebo).
L'arrêt du traitement en raison d’un événement indésirable (EI) a eu lieu chez 54 patients (33%) ayant reçu ADCETRIS, le plus souvent en raison de neuropathies périphérique sensorielle et motrices (respectivement 14% et 7%). Les patients ayant cessé le traitement par brentuximab védotine suite à un EI avait suivi en moyenne 9,5 cycles (intervalle : 1 à 15). Le taux de SSP à deux ans chez ces patients était de 69% (95% CI 54–79) contre 82% (95% CI 71–89) chez les patients ayant suivi les 16 cycles de traitement.
Six reprises évolutives (2 progressions et 4 décès) ont été enregistrées après la période d’évaluation de 24 mois dans le groupe traité par brentuximab védotine, contre trois dans le groupe placebo (2 progressions et 1 décès). Le « hazard ratio » (HR) de la SSP établi par un examen indépendant était de 0,57 (95% CI 0,41–0,82).
À propos d'ADCETRIS®
ADCETRIS est un conjugué anticorps-médicament (CAM) comprenant un anticorps monoclonal anti-CD30 fixé par un lieur clivable par protéase à un agent perturbant les microtubules, l’auristatine monométhyle E (MMAE). Le CAM emploie un système de liaison conçu pour être stable dans le sang mais pour libérer le MMAE lors de l'internalisation dans les cellules cancéreuses exprimant l'antigène CD30.
ADCETRIS a reçu une autorisation conditionnelle de commercialisation de la Commission européenne en octobre 2012 pour deux indications : (1) pour le traitement des patients adultes atteints de LH CD30-positif récidivant ou réfractaire suite à une autogreffe de cellules souches (AGCS), ou suite à au moins deux thérapies antérieures lorsque l’AGCS ou la chimiothérapie multi-agents n’est pas une option de traitement, et (2) le traitement des patients adultes atteints de sALCL récidivant ou réfractaire. ADCETRIS a reçu une autorisation de commercialisation de la part des autorités de réglementation dans plus de 55 pays. Veuillez consulter ci-dessous les informations importantes relatives à la sécurité.
ADCETRIS pour injection intraveineuse a reçu une autorisation de la FDA (l’agence américaine des produits alimentaires et des médicaments) pour trois indications: (1) autorisation régulière pour le traitement de patients atteints d’un LH classique après l’échec d’une autogreffe de cellules souches hématopoïétiques (auto-HSCT) ou après l’échec d’au moins deux chimiothérapies multi-agents chez les patients non admissibles à l’auto-HSCT, (2) autorisation régulière pour le traitement de patients atteints d’un LH classique présentant un risque élevé de rechute ou de progression de la maladie comme consolidation post-auto-HSCT, et (3) autorisation accélérée pour le traitement de patients atteints d’un lymphome anaplasique à grandes cellules systémique (sALCL) après l’échec d’au moins une chimiothérapie multi-agents. L’indication pour le sALCL est autorisée en vertu d’une procédure accélérée se fondant sur le taux de réponse global. Le maintien de l’autorisation pour l’indication de sALCL peut être soumis à la vérification et à la description des bénéfices cliniques lors d’essais confirmatoires. Santé Canada a accordé une approbation à ADCETRIS sous conditions pour le lymphome hodgkinien et le sALCL récidivants ou réfractaires.
ADCETRIS est largement évalué, dans le cadre d’une trentaine d’essais cliniques en cours, dont l’essai de phase 3 ALCANZA et deux études complémentaires de phase 3, l’une sur le LH classique de première ligne et l’autre sur les lymphomes à cellules T matures de première ligne, ainsi que des essais sur de nombreux autres types de tumeurs malignes exprimant le CD30, y compris les lymphomes à cellules B.
Seattle Genetics et Takeda développent conjointement ADCETRIS. Selon les modalités de l’entente de collaboration, Seattle Genetics possède les droits de commercialisation aux États-Unis et au Canada et Takeda possède les droits de commercialisation d’ADCETRIS dans le reste du monde. Seattle Genetics et Takeda financent conjointement les couts de développement d’ADCETRIS, à proportions égales, sauf au Japon où Takeda assume l’entière responsabilité des coûts de développement.
Importantes informations relatives à la sécurité pour ADCETRIS au niveau mondial
ADCETRIS® est indiqué pour le traitement des patients adultes souffrant de lymphome hodgkinien (LH) CD30-positif récidivant ou réfractaire (r/r) :
1. Suite à une autogreffe de cellules souches ou
2. Suite à au moins 2 traitements antérieurs lorsque l’autogreffe de cellules souches n’est pas une option de traitement
ADCETRIS est indiqué pour le traitement des patients adultes souffrant de lymphome anaplasique à grandes cellules systémique (sALCL) récidivant ou réfractaire.
ADCETRIS est contre-indiqué chez les patients hypersensibles à ADCETRIS. En outre, l’utilisation combinée de la bléomycine et d’ADCETRIS provoque une toxicité pulmonaire, et est contre-indiquée.
ADCETRIS peut provoquer des effets indésirables graves, dont :
Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) : Des réactivations du virus John Cunningham (JCV) entraînant une LEMP et la mort ont été signalées chez les patients traités avec ADCETRIS. Les patients doivent être étroitement surveillés pour vérifier l’apparition ou l’aggravation de signes ou de symptômes neurologiques, cognitifs ou comportementaux pouvant être évocateurs d’une LEMP.
Pancréatite : Des cas de pancréatites aiguës ont été observés chez des patients traités avec ADCETRIS. Des évolutions fatales ont été signalées. Les patients doivent être étroitement surveillés pour vérifier l’apparition ou l’aggravation de douleurs abdominales.
Toxicité pulmonaire : Des cas de toxicité pulmonaire ont été signalés chez des patients traités avec ADCETRIS. En cas d’apparition ou d’aggravation des symptômes pulmonaires (par exemple : toux, dyspnée), un diagnostic rapide devra être effectué.
Infections graves et opportunistes : Des infections graves, comme la pneumonie, la bactériémie à staphylocoque, la septicémie/le choc septique (y compris des cas mortels), le zona et des infections opportunistes, telles que la pneumonie à Pneumocystis jiroveci et la candidose orale, ont été signalées chez des patients traités avec ADCETRIS. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant le traitement pour vérifier l’apparition possible d’infections graves ou opportunistes.
Réactions liées à la perfusion : Des réactions immédiates et retardées liées à la perfusion, ainsi que des cas d’anaphylaxie, sont survenus avec ADCETRIS. Les patients doivent être étroitement surveillés pendant et après une perfusion.
Syndrome de lyse tumorale (SLT) : Des cas de SLT ont été signalés avec ADCETRIS. Surveillez attentivement les patients souffrant d'une tumeur proliférant rapidement ou d'une masse tumorale importante, car ils présentent un risque de SLT et doivent être traités conformément aux meilleures pratiques médicales.
Neuropathie périphérique (NP) : Le traitement avec ADCETRIS peut provoquer une NP de nature principalement sensorielle. Des cas de neuropathie motrice périphérique ont également été signalés. Les patients doivent être surveillés pour vérifier l’apparition de symptômes de NP, tels que l’hypoesthésie, l’hyperesthésie, la paresthésie, une gêne, une sensation de brûlure, une douleur neuropathique ou de la faiblesse.
Toxicités hématologiques : Une anémie de grade 3 ou 4, une thrombocytopénie et une neutropénie prolongée (égale ou supérieure à une semaine) de grade 3 ou de grade 4 peuvent se produire avec ADCETRIS. La numération sanguine complète doit être contrôlée avant l’administration de chaque dose.
Neutropénie fébrile : Des cas de neutropénie fébrile ont été signalés. Il est nécessaire de surveiller étroitement les patients pour vérifier la survenue d’états fébriles et de les traiter conformément aux meilleures pratiques médicales.
Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et Nécrolyse épidermique toxique (NET) : Des cas de SSJ et de NET ont été signalés. Des issues fatales ont été signalées.
Hyperglycémie : Des cas d’hyperglycémie ont été signalés lors des essais chez des patients ayant un indice de masse corporelle (IMC) élevé avec ou sans antécédents de diabète sucré. Les taux de glucose sérique doivent être étroitement surveillés chez tous les patients souffrant d’hyperglycémie.
Insuffisance rénale et hépatique : L’expérience est limitée chez les patients présentant une insuffisance rénale et hépatique. L’analyse pharmacocinétique de population a montré que la clairance MMAE pouvait être affectée par une insuffisance rénale modérée ou sévère, et par de faibles concentrations sériques de l’albumine. Des élévations de l’alanine aminotransférase (ALAT) et de l’aspartate aminotransférase (ASAT) ont été signalées. La fonction hépatique doit être surveillée régulièrement chez les patients recevant du brentuximab védotine.
Teneur en sodium des excipients :: Ce médicament contient un maximum de 2,1 mmol (ou 47 mg) de sodium par dose. Il convient de prendre ceci en compte pour les patients suivant une alimentation réduite en sodium.
Les réactions médicamenteuses indésirables graves ont été : la neutropénie, la thrombocytopénie, la constipation, la diarrhée, les vomissements, la pyrexie, la neuropathie périphérique motrice et la neuropathie périphérique sensorielle, l’hyperglycémie, la polyneuropathie démyélinisante, le syndrome de lyse tumorale et le syndrome de Stevens-Johnson.
ADCETRIS a été étudié en monothérapie chez 160 patients dans le cadre de deux études de phase II. Pour les deux études, les effets indésirables définis comme très fréquents (≥ 1/10) ont été les suivants : infections, neutropénie, neuropathie périphérique sensorielle, diarrhée, nausées, vomissements, alopécie, prurit, myalgie, fatigue, pyrexie et réactions liées à la perfusion. Les effets indésirables définis comme communs (≥ 1/100 à <1/10) ont été les suivants : infections des voies respiratoires supérieures, zona, pneumonie, anémie, thrombocytopénie, hyperglycémie, neuropathie motrice périphérique, étourdissements, polyneuropathie démyélinisante, toux, dyspnée, constipation, éruptions cutanées, arthralgie, dorsalgies et frissons.
Cette liste des effets secondaires potentiels d’ADCETRIS n’est pas exhaustive. Veuillez vous référer au résumé des caractéristiques du produit avant de le prescrire.
À propos de Takeda
Implantée à Osaka, au Japon, Takeda (TSE:4502) est une société pharmaceutique d'envergure mondiale axée sur la recherche, qui se consacre principalement aux produits pharmaceutiques. Plus grande société pharmaceutique au Japon et l’un des leaders mondiaux dans son secteur, Takeda concentre ses efforts sur l'amélioration de la santé des patients à travers le monde au moyen d'innovations médicales de premier plan.
Pour un complément d'information sur Takeda, veuillez consultez le site www.takeda.com.
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